Le data storytelling
Nous schématisons souvent la mémorisation humaine en prenant en compte qu’un individu retient 10% de ce qu’il entend, 20% de ce qu’il lit et 80% de ce qu’il voit !
Nous schématisons souvent la mémorisation humaine en prenant en compte qu’un individu retient 10% de ce qu’il entend, 20% de ce qu’il lit et 80% de ce qu’il voit !
google.com, wikipedia.org, leboncoin.fr, lemonde.fr, credit-agricole.fr, tous ces sites font partie des 20 sites générant tous les mois en France le plus de trafic selon SimilarWeb. Leurs modèles économiques sont toutefois très différents.
Il y a peu de temps, je suis tombé par hasard sur un reportage autour du recrutement en Chine qui mettait en avant l’apport de l’IA dans la facilitation à faire passer les premiers entretiens.
Chercheuse au sein du laboratoire ETIS-CNRS, responsable de l’option Data Science et enseignante à Cytech, Maria Malek nous a accordé une interview sur l’univers extrêmement riche de l’opinion mining.
Malgré sa relative jeunesse, l’outil a pourtant su rapidement trouver sa place parmi de nombreuses directions Data, notamment en France, et trouver grâce aux yeux de nombreux professionnels manipulant de la data au quotidien.
Si la donnée, or noir du 21ème siècle, est présente partout de nos jours en quantité telle qu’on ne cesse de créer de nouvelles unités de stockage, le datascientist, ce précieux ouvrier qui peut l’exploiter, reste quant à lui une ressource rare. Ce qui rend ce dernier si recherché est la multiplicité des compétences qu’on lui associe.
Nos données personnelles sont donc un actif stratégique que l’on accepte souvent de partager à titre gracieux en échange d’un service gratuit. Si le service que l’on nous offre est gratuit, c’est que nous sommes certainement le produit à vendre…